Football
Sur le chemin du retour du pique-nique intérieur, j’ai croisé quelques hommes louches, en survêtements : j’ai senti la tension palpable, niveau énergie. Folle serait celle qui materait l’entrecuisse de ces primates émerveillés par ces mythes fallacieux d’aujourd’hui, cette addiction malsaine pour un sport de gonzesse qui n’a ni la virilité du rugby, ni la violence du hockey sur glace. Ces quidams extatiques sont gonflés à bloc mais pas au bon endroit. Beaucoup de casse, un peu plus haut mais je n’ai pas eu peur malgré les attroupements, c’est que je trimballais avec moi mon saladier en céramique. Pour me défendre, au cas où.
020714
J’adore ce que tu dis du foot !