Déliquescence : l’Amour Amer
Je me suis perdu dans l’ombre d’une femme, rassurante et sincère, toujours en demande de cet amour de conte, exquise et mélancolique gourmandise. Elle m’a dit, vipérine : que ferais-tu, si je n’étais pas là ?
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C’est vrai que c’est sujet à interprétation. Moi j’ai ressenti ton personnage principal (pas ton héros, lol) comme quelqu’un de terriblement désabusé, revenu de tout, ne croyant plus en rien.
Après, c’est ma liberté de lecteur, je me le suis approprié comme ça, et ça fait sûrement écho à mes propres obsessions.
Ah, Nicolas Ravière, l’écrivain qui fait réfléchir !
Pardon, Nicolas Raviaire 🙂
Oui c’est un texte marquant pour moi, sans doute l’un de ceux que je relirai quand j’aurai davantage de clés pour te connaître/comprendre. Et que j’aurai évolué 🙂
Passe une bonne après-midi ou un bon après-midi puisque visiblement les deux orthographes sont acceptées.
Bisou du lundi au soleil qui est une chose qui ne changera jamais !
« L’amour est fort peu de chose face aux mouvements élégants de la vie ? »
C’est une question de point de vue ! Moi je suis comme la femme, je rêve d’un amour de conte et ma quête reste vaine. J »ai probablement tort mais je ne peux m’en empêcher.
Comme tu vois, tes textes suscitent la réflexion et même l’introspection. Celui-là m’a touché, ce duo mal accordé me fait m’interroger. Et si j’avais tort ?
Le débat intérieur est lancé.