Haïku
Aube crépusculaire, je m’éveille dans les dunes, il prend l’ampleur d’un condor dans le ciel infini et s’évapore comme un parfum, inodore entre mes cuisses soleilleuses. Qui est-il ? Où va-t-il ? N’était-ce pas là une illusion ?
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Je suis revenu lire ce texte, dont j’aime le chant des mots. Tes cuisses soleilleuses me font rêver !
Plus sérieusement, l’inconnu sur lequel on fantasme, auquel on prête un vécu, des qualités, celui dont le physique se prête aux envies d’amour, je connais, il bosse à une rue d’ici et je l’appelle Ben. Il tutoie la perfection, c’est ma licorne mâle à fantasmes amoureux. Je l’invoque souvent.
Mais je dois parler au passé, car Ducisse depuis son arrivée à bousculé ma vie entière !
Mais recentrons-nous, Haiku est un formidable texte, à l’écriture parfaitement maîtrisée. Une réussite. Encore !
Je me souviens avoir déjà lu ce texte et l’avoir alors beaucoup aimé. Le ressenti reste le même aujourd’hui.
Vivement de nouveaux textes ! Je les attends depuis longtemps avec impatience !
Intrigué, incapable de mettre des mots sur ce petit texte. J’ai été traversé par une sensation de chaleur et des couleurs. C’est grave docteur ?
J’aime bien l’idée que tu postes des petits Haïku (pléonasme). On ne va jamais autant à l’essentiel qu’en usant peu de mots.