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Bonjour Fab,
Aucun problème 🙂 Au niveau de mon expérience, je n’ai rien à redire, je suis satisfait 🙂
Le seul petit bémol c’est que quand tu crées un livre, tu dois attendre quelques jours pour qu’ils le vérifient (voir s’il correspond bien à la charte etc) Non, tu ne paies rien du tout, seulement les exemplaires que tu achètes toi même au prix de l’impression, sans la com. Rien ne t’y oblige même si c’est plus pratique pour les corrections d’avoir le livre physique entre les mains. Le seul truc que je n’aime pas trop, c’est le prix des frais de ports. J’espère que ça répond à tes questions. Bonne soirée 🙂
Non mais qu’est-ce que c’est que cette vision de l’âge mûr !!!
50 ! Je ne rote ni ne pète ou si peu. Mais certes, le corps s’abîme, et il est facile de sombrer dans l’abandon inesthétique si l’on n’y prend garde.
Et certains « vieux » ne s’aventurent plus dans les ghettos de leur différence de peur de ne se prendre des piques assassines lancées par des créatures dupliquées. Le miroir est une épreuve de chaque jour et les selfies vous balancent parfois votre sinistre vérité dans votre vieille gueule.
Heureusement, il existe encore des regards bienveillants au-delà de la déliquescence d’une vieillesse qui s’annonce, pire que l’antichambre de la mort.
Et ces regards vous rendent exceptionnels, comme une perle d’huître qui s’est longtemps cultivée et ne trouve sa véritable beauté qu’après une lente maturation.
Ah comme j’aime son regard sur moi ! Son regard tendre et sensuel !
Non, à 50 ans, je ne me sens pas mûr, juste, effectivement, en train d’arriver à maturation. Comme tu le dis si bien, je suis en cours d’acceptation.
Quant aux ghettos pas gais, je ne m’y intéresse pas vraiment, je n’ai jamais eu la sensation d’y être parmi les miens à 20 ans, alors tu penses bien, 30 ans plus tard … que les créatures-clones continuent à vitupérer, elles connaîtront forcément un jour les affres de la jeunesse qui vous quitte … et les bistouris que certaines réclameront les feront ressembler à des masques figés, pathétiques.
C’est toujours un plaisir d’échanger avec toi, j’en parlais ce matin à mon mari, Cédric Ducisse, entre une biscotte et une cuillèrée de compote !
Quand ce sera ton tour, j’aurai surement l’Alzheimer 🙂
Ben en fait je ne crache pas dans la soupe de garce, j’ai passé de très bons moments dans le milieu PARDON le ghetto gay quand il était centralisé dans les Halles, je m’y suis fait des amis, j’y ai rencontré des regards souvent bienveillants … mais depuis que ça s’est déplacé dans le marais, et pour avoir essayé de m’y aventurer, je n’ai plus aucune attirance, plus aucun intérêt pour ce concentré géographique de nous-mêmes, enfin … de l’une de nos caractéristiques.
Bref !
Nous éloignons du texte initial, mais après tout c’est ça aussi les commentaires !
Bien à vous.
Yann Frank époux Ducisse
Bonjour Nicolas,
Je suis désolé d’utiliser cet espace commentaire pour ma question mais je n’ai pas trouvé d’adresse mail où te joindre. Je te lis depuis un moment et j’ai vu que tu avais publié chez the book edition et voulant moi aussi publier, j’aimerais avoir un aperçu de ton expérience chez eux. As-tu payé quoi que ce soit pour l’impression de tes livres ou pour autre chose ? Merci d’avance 🙂